L'Agenzia di Stampa Massonica Italiana porge al Presidente della Repubblica Italiana Giorgio Napolitano, gli auguri più sinceri e lo ringrazia per l'impegno giornaliero al servizio del nostro paese.
venerdì 29 giugno 2012
martedì 26 giugno 2012
Citoyenneté, République et Franc-maçonnerie
Invité par une des deux Loges auxerroises, Le Réveil de l’Yonne, Guy ARCIZET a donné une conférence publique le 20 juin dernier à Auxerre sur le thème « Citoyenneté, République et Franc-maçonnerie » .
Par la même occasion, il a rencontré le maire d’Auxerre, Guy FEREZ avec lequel il a échangé sur les grands problèmes de société.
Marc Henry, élu Grand Maître de la Grande Loge de France
À l’issue du Convent réunissant les 850 députés de la Grande Loge de France, c’est Marc Henry qui a été élu Grand Maître de la Grande Loge de France, le samedi 16 juin 2012.
Succédant à Alain-Noël Dubart, Marc Henry, âgé de 66 ans, a été initié au sein de l’obédience en 1976 dans la Respectable Loge Memphis-France et a occupé de nombreuses fonctions dont celle de premier Grand Maître Adjoint. Il était également l’une des voix de France Culture puisqu’il anime depuis près de 10 ans, une fois par mois, l’émission de la Grande Loge de France lors de la séquence Divers Aspects de la Pensée Contemporaine, le dimanche matin.
Très attaché à la spécificité de la Grande Loge et au Rite Ancien et Accepté, Marc Henry a déclaré sa joie de se mettre au service des 34 000 frères de la Grande Loge et a souligné « l’importance de la méthode maçonnique en ces temps troublés où l’Homme est à la recherche de valeurs et de perspectives pour trouver un sens à sa vie, au-delà des contingences matérielles et au service de la société. »
En outre, il entend poursuivre la politique d’ouverture et d’information engagée par la Grande Loge, depuis plusieurs années, politique qui selon lui : « reste essentielle pour mieux faire connaître les travaux de la Grande Loge et participer à une meilleure compréhension de la franc-maçonnerie, dans un esprit de liberté et de fraternité ».
(Tratto da: gldf.org)
La singulière victoire judiciaire de François Stifani
Mon amie la Justice ne cesse de me surprendre. Dans son arrêt du 21 juin, la Cour d’Appel de Paris juge irrecevable l’appel de Me Monique Legrand, administrateur provisoire de la GLNF. Elle voulait faire juger que la désignation du candidat Grand Maître par le Souverain Grand Comité (SGC) se fait par un scrutin à 2 tours et pas à 1 tour, comme cela s’est fait le 30 mars, où François Stifani a été désigné avec une majorité relative.
Et pourquoi la Cour l’appel juge l’appel de Me Legrand irrecevable ? Parce que, affirment les magistrats, sa mission est terminée depuis le 30 mars. Et pourquoi donc ? Parce qu’ »il n’est pas prétendu que cette désignation [du candidat Grand Maître par le SGC] pourrait être remise en cause parce qu’elle est soumise à la « ratification », d’une part de l’Assemblée générale de l’association d’autre part de la Grande Loge lors d’une tenue solennelle, peu important que le Grand Maître soit au départ appelé « candidat » ; « .
En clair, pour la Cour d’appel, le nouveau Grand Maître a été élu le 30 mars 2012 en la personne du Grand Maître sortant François Stifani. En conséquence de quoi, selon les magistrats, l’AG de ratification n’a aucun rôle : elle ne peut en tout cas pas remettre en cause le choix du SGC.
Il s’agit là d’une analyse opposée à celle développée deux jours avant par le TGI de Paris, qui affirmait que la ratification du choix du SGC par l’AG n’est pas une simple formalité, en clair, que l’AG peut refuser le candidat proposé par le SGC. Et c’est bien de cela qu’il s’agit : il ressort des statuts, constitutions, comme du PV du SGC du 30 mars, que c’est bien un candidat qui sera proposé à l’AG du 23 juin. Le TGI le lit ainsi. Pas la Cour d’appel. Qui a manifestement totalement adopté la vision de François Stifani.
L’AG du 23 juin semble devoir se tenir tout de même. Sous la direction de Me Monique Legrand, qui l’a organisée avec la même rigueur que le 4 février dernier. Bien que la Cour d’appel écrive que sa mission est terminée depuis le 30 mars ? Oui, car cette affirmation ne figure que dans la motivation de l’arrêt et pas dans la décision elle-même (le fameux « par ces motifs »). Il ne lui était pas demandé de dire si la mission de Me Legrand avait pris fin. Alors que c’était demandé au TGI qui a répondu que sa mission ne prendra fin qu’à l’installation du GM.
Il n’empêche que cet arrêt de la Cour d’appel provoque un malaise. Me Legrand pourrait d’ailleurs former un pourvoi. Sa décision n’est pas encore connue.
Que ce passerait-il aussi si, le 23 juin, la ratification n’était pas acquise pour François Stifani ? Il demeurerait GM. Le SGC devrait désigner un nouveau candidat.
Le rôle de la Justice en question.
Cela ne date pas d’aujourd’hui, car l’appel contre la décision du 7 décembre 2010 n’est toujours pas rendu et cela suscite toujours plus d’incompréhension, mais je trouve que le rôle de la Justice dans la grave crise de la GLNF s’avère de plus en plus trouble. Au point que je commence à avoir du mal à suivre.
(Tratto da: La Lumière)
martedì 19 giugno 2012
Jean Zay : Humaniste, Laïque et Intellectuel
A l'occasion de la création de la pièce de théâtre "Jean ZAY", inspirée de son œuvre, le Grand Orient de France et la Compagnie TETRA-ART vous invitent à une soirée exceptionnelle en hommage à Jean ZAY, homme républicain et franc-maçon, politique, résistant, écrivain, au destin tragique.
Ses filles, Catherine et Hélène ZAY, et le sénateur Jean-Pierre SUEUR apporteront leur témoignage.
La Compagnie TETRA-ART présentera en exclusivité des extraits de la pièce. Sa première représentation est programmée dans le cadre de Marseille Provence, Capitale Européenne de la Culture 2013.
Guy ARCIZET
Grand-Maître
Les membres du Conseil de l’Ordre
Les membres du Conseil d’Administration de la Fondation du GODF
Jean-Pierre SUEUR
Ancien Ministre
Sénateur du Loiret
Catherine et Hélène ZAY
Filles de Jean ZAY
Denis ATTAL
Président de la Compagnie TETRA-ART
vous prient de bien vouloir honorer de votre présence
la lecture des extraits de la pièce "Jean Zay"
Mise en scène par Raymond Vinciguerra
MERCREDI 27 JUIN 2012 à 20 h
Hôtel du Grand Orient de France
Temple Arthur GROUSSIER
16, rue Cadet - 75009 PARIS
(Tratto da: godf.org)
Pour la GLDF, la Déclaration de Bâle est un « évènement conséquent »
L’embarras s’est manifestement dissipé entre hier et aujourd’hui à la GLDF (Grande Loge de France). Il a fallu quelques jours pour digérer la Déclaration de Bâle, publiée ici le 11 juin, qui constitue une offre de négociation de 5 Grandes Loges dites régulières (Allemagne, Autriche, Belgique, Luxembourg et Suisse) en vue d’une reconnaissance mutuelle. Le Grand Maître de la GLDF Alain-Noël DUBART a répondu à 3 questions.
Il s’agit d’un événement assez conséquent dans le paysage maçonnique. C’est tout à fait sérieux. C’est pour cette raison que nous en avons parlé hier lors de notre réunion du Conseil Fédéral et que cela constituera un nouveau point à l’ordre du jour de notre Convent qui commence demain. Il y aura un vote : la GLDF acceptera ou refusera cette offre de négociation.
Une telle proposition à la GLDF est-elle nouvelle et surprenante ?
C’est tout à fait nouveau. Que ces cinq Grandes Loges se détournent de la GLNF pour se tourner vers une obédience ancienne, inscrite dans la tradition maçonnique et très stable, il n’y a là rien de surprenant.
Les 2 conditions posées par les 5 Grandes Loges ne sont-elles pas difficilement acceptables ?
Sachez avant tout que nous n’avons jamais été demandeur de cette négociation. Si nous décidions d’entrer en négociation, la Déclaration de Bâle serait un point de départ. Pas plus. Et tout commencerait par un exercice de clarifications. Surtout concernant notre Suprême Conseil : comme beaucoup de frères en dehors de l’Hexagone, ils méconnaissent le fonctionnement de la GLDF. L’obédience est totalement indépendante du Suprême Conseil depuis 1904. Quant à la demande de rupture sans ambiguïté avec les obédiences dites irrégulières, il faudrait définir ce qu’est une obédience irrégulière, et ce qu’est une relation entre deux obédiences.
(Tratto da: La Lumière)
lunedì 18 giugno 2012
Roma 18-06-2012 EV:.- 6012 A:.V:.L:.Gran Loggia C:.A:.M:.E:.A:.
Protocollo del Governo dell’Ordine n. 003/12
Oriente Scozzese di Roma 18-06-2012 EV:.- 6012 A:.V:.L:.
Car:.mi FF:.lli, a voi tutti và il nostro T:.F:.A:.
Salutiamo con grande gioia la chiusura di questa prima Gran Loggia CAMEA dell’A:.V:.L:.6012.
Ringraziamo le Delegazioni amiche Estere ed Italiane presenti in numero straordinariamente nutrito.
Ringraziamo le tante Obbedienze Estere che hanno inviato i propri attestati di stima e manifestato la propria vicinanza in questi mesi nei fatti, non solo con le parole.
Ringraziamo infine le decine di Logge presenti e le tante che hanno inviato Tavole di saluto. Non nascondiamo la nostra fierezza per come l’Obbedienza, dietro solide e sicure guide, stia crescendo in modo omogeneo e costante negli anni, sia in numero che in qualità.
La Massoneria Italiana, ma crediamo la società intera, ha bisogno di Uomini e Donne che si spendano per il risveglio delle coscienze.
Noi lavoriamo per questo, senza guardare gli orti altrui, ma attenti al proprio; auspichiamo che gli altri si aggreghino a questo stile di vita e modo di agire.
Vi porgiamo come sempre, un affettuoso T:.F:.A:.
Oriente Scozzese di Roma 18-06-2012 EV:.- 6012 A:.V:.L:.
Car:.mi FF:.lli, a voi tutti và il nostro T:.F:.A:.
Salutiamo con grande gioia la chiusura di questa prima Gran Loggia CAMEA dell’A:.V:.L:.6012.
Ringraziamo le Delegazioni amiche Estere ed Italiane presenti in numero straordinariamente nutrito.
Ringraziamo le tante Obbedienze Estere che hanno inviato i propri attestati di stima e manifestato la propria vicinanza in questi mesi nei fatti, non solo con le parole.
Ringraziamo infine le decine di Logge presenti e le tante che hanno inviato Tavole di saluto. Non nascondiamo la nostra fierezza per come l’Obbedienza, dietro solide e sicure guide, stia crescendo in modo omogeneo e costante negli anni, sia in numero che in qualità.
La Massoneria Italiana, ma crediamo la società intera, ha bisogno di Uomini e Donne che si spendano per il risveglio delle coscienze.
Noi lavoriamo per questo, senza guardare gli orti altrui, ma attenti al proprio; auspichiamo che gli altri si aggreghino a questo stile di vita e modo di agire.
Vi porgiamo come sempre, un affettuoso T:.F:.A:.
il Governo dell’Ordine:.
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C:.A:.M:.E:.A:.
giovedì 14 giugno 2012
mercoledì 13 giugno 2012
Cinq GL européennes rompent avec la GLNF et se tournent vers la GLDF
C’est un véritable coup de tonnerre dans le ciel, déjà fort agité, de la maçonnerie européenne. Les Grands Maîtres des Grandes Loges Régulières d’Autriche, de Belgique, d’Allemagne, duLuxembourg et de Suisse ont signé hier à Bâle une déclaration où non seulement elles officialisent le RETRAIT de la RECONNAISSANCE de la GLNF, mais surtout elles ouvrent de fait une négociation avec la Grande Loge de France (GLDF), à qui, écrivent-elles, un « rôle majeur pourrait revenir » dans un « processus de recomposition » de la maçonnerie régulière en France.
Malgré l’apparente prudence du propos, c’est une bombe. Que cinq Grandes Loges régulières européennes, dont le poids diplomatique dépasse largement celui de leurs effectifs relativement modestes, invitent une obédience non-régulière à négocier avec elles est exceptionnel. Naturellement, le processus pourrait être long, d’autant plus que les deux conditions posées ne sont pas mineures : 1. Que la GLDF rompe ses relations avec les obédiences non-régulières (GODF, DH, GLFF, GLTSO…). 2. Qu’une réelle indépendance soit instaurée entre les loges bleues (les ateliers de base) de la GLDF et les hauts grades (le Suprême Conseil du REAA).
Les cinq Grandes Loges confirment et amplifient leur jugement implacable sur la gouvernance de François Stifani. Pour eux, la GLNF « se trouve en dérive irrémédiable » et surtout ils affirment « que les processus de vote ainsi que la composition des collèges électoraux la privent définitivement de toute légitimité, maçonnique ou autre« . La gouvernance Stifani est accusée d’avoir anéanti 100 ans de travail des frères de la GLNF.
Les cinq Grandes Loges affirment ne pas abandonner les frères de la GLNF, ou ceux qui en sont issus. Il est clair que cette déclaration va probablement être saluée par ceux qui combattent encore la gouvernance Stifani au sein de l’obédience, comme par ceux qui ont fondé la GL-AMF.
(Tratto da: La Lumière)
Reflexiones sobre la masonería y la paz
De su discurso pronunciado en Buenos Aires en oportunidad de haber recibido el Premio Internacional de la Paz, otorgado por la Masonería Argentina, por su acción en favor de la convivencia fraternal entre los masones cristianos, drusos, judíos y musulmanes en Israel.
La Masonería, dice el H:. ALBERT PIKE, es la sociedad sublime de la Paz del mundo. Dondequiera que exista, se esfuerza por solucionar los conflictos y ligar a los individuos y los estados con vínculos de paz y amistad, tolerancia y concordia.
En el curso de la triste historia del conflicto árabe-israelí, hay un lucero que ilumina el camino de la esperanza en el futuro. En el Estado de Israel, nacido en medio del combate, templado por la batalla constante por la supervivencia, la Masonería hallo terreno apto para demostrar en su pleno valor la importancia y la firmeza acrisolada de nuestras doctrinas.
En nuestros templos han encontrado lugar HH:. creyentes de todas las religiones: cristianos, judíos, musulmanes, drusos, sin distinción, se abrazan como hermanos, e incluso en los días más amargos que la historia les depara, demuestran en su convivencia la pureza de los ideales de nuestra sublime institución.
Desde los comienzos de la Francmasonería en Tierra Santa, las logias acogieron en sus columnas hombres libres y de buenas costumbres, no importa cual fuera su creencia religiosa, su idioma, o su origen étnico. Las logias existentes en Palestina en 1948 siguieron funcionando, casi sin excepciones, bajo los gobiernos de Israel y Jordania. Solo en 1953 culminaron los esfuerzos para lograr la unificación de la Masonería Israelí, al crearse la Gran Logia del Estado de Israel. Todas las Logias existentes a la fecha se adhirieron al nuevo gobierno masónico y renunciaron a sus afiliaciones previas con Grandes Orientes o Grandes Logias extranjeras.
A las 31 logias existentes en 1953, se han ido sumando 46 logias nuevas, que funcionan en todas las ciudades del país, desde la cabalística Safed de Galilea, hasta Eilat, el puerto del Rey Salomón, en las costas del Mar Rojo.
Existen en Israel una veintena de logias que trabajan en idiomas distintos del hebreo: alemán, árabe, español, francés, inglés, rumano y turco. Nuestra Orden funciona activamente en Israel en todos sus grados y ritos tradicionales: Escocés y Yorquino.
La GRAN LOGIA DEL ESTADO DE ISRAEL mantiene relaciones fraternales con la mayor parte de las Grandes Logias del mundo. Podemos estar todos orgullosos del ejemplo de fraternidad y tolerancia que ha dado siempre nuestra Orden.
El sello de nuestra Gran Logia incluye los símbolos de las tres grandes religiones monoteístas: la cruz cristiana, la media luna mahometana y la estrella de David judía, enlazadas dentro del marco de laEscuadra y el Compás. Sobre nuestros altares se abren, uno al lado del otro, tres volúmenes: la Biblia judía, el Nuevo Testamento, y el Corán.
En este siglo que está terminando, la humanidad ha vivido algunas de las páginas más negras y estremecedoras de la historia. Después de haber experimentado tales horrores, deberíamos haber aprendido que el único camino para vivir con dignidad, como seres humanos, es mediante la paz, la tranquilidad y el respeto mutuo, la libertad y la igualdad. Lamentablemente, aun quedan lugares en el mundo donde persisten odiosos regímenes de discriminación racial y religiosa, donde la única ley es la del más fuerte.
La Organización de las Naciones Unidas, creada para promover los ideales de paz y concordia, no ha logrado imponer el acatamiento a estos elevados principios. Periódicamente la opinión pública se siente sacudida por sangrientos sucesos protagonizados por hombres cegados por el fanatismo y el odio.
Personalmente, estimo que la discriminación es un atentado contra la dignidad humana y moralmente condenable, fundamentada en la arrogancia y el orgullo de los hombres que la practican, y un factor destructivo, que corroe los fundamentos éticos de la sociedad.
Estoy orgulloso de haber nacido en la Argentina y de vivir y ser ahora ciudadano ante la ley y no reconocen clase privilegiada alguna. Como Francmasón, me siento entristecido de que aun queden lugares donde se practica la discriminación racial y formulo votos por que nuestra Augusta Orden, mediante su acción tenaz y justa, unida a todos aquellos que luchan en el mundo por imponer la igualdad de todos los seres humanos como principio de justicia, logren finalmente tener existo en tan noble causa.
Para terminar, quiero recordar que un día de junio del año 1942, una niña judía de 13 años, escondida con sus padres en una buhardilla de Amsterdam, bajo la ocupación de los nazis, recibió un cuaderno como regalo de cumpleaños. Lo utilizo para escribir su diario, que lo termina tres días antes de ser detenida con su familia y deportada al campo de concentración de Bergen-Belsen, donde murrio en marzo de 1945. Dos meses más tarde, el campo fue liberado por las fuerzas británicas.
En su última anotación, del 15 de julio de 1944, expresa ANA FRANK conceptos de increíble madurez y de espacial trascendencia para la humanidad, y dice:
La Masonería, dice el H:. ALBERT PIKE, es la sociedad sublime de la Paz del mundo. Dondequiera que exista, se esfuerza por solucionar los conflictos y ligar a los individuos y los estados con vínculos de paz y amistad, tolerancia y concordia.
En el curso de la triste historia del conflicto árabe-israelí, hay un lucero que ilumina el camino de la esperanza en el futuro. En el Estado de Israel, nacido en medio del combate, templado por la batalla constante por la supervivencia, la Masonería hallo terreno apto para demostrar en su pleno valor la importancia y la firmeza acrisolada de nuestras doctrinas.
En nuestros templos han encontrado lugar HH:. creyentes de todas las religiones: cristianos, judíos, musulmanes, drusos, sin distinción, se abrazan como hermanos, e incluso en los días más amargos que la historia les depara, demuestran en su convivencia la pureza de los ideales de nuestra sublime institución.
Desde los comienzos de la Francmasonería en Tierra Santa, las logias acogieron en sus columnas hombres libres y de buenas costumbres, no importa cual fuera su creencia religiosa, su idioma, o su origen étnico. Las logias existentes en Palestina en 1948 siguieron funcionando, casi sin excepciones, bajo los gobiernos de Israel y Jordania. Solo en 1953 culminaron los esfuerzos para lograr la unificación de la Masonería Israelí, al crearse la Gran Logia del Estado de Israel. Todas las Logias existentes a la fecha se adhirieron al nuevo gobierno masónico y renunciaron a sus afiliaciones previas con Grandes Orientes o Grandes Logias extranjeras.
A las 31 logias existentes en 1953, se han ido sumando 46 logias nuevas, que funcionan en todas las ciudades del país, desde la cabalística Safed de Galilea, hasta Eilat, el puerto del Rey Salomón, en las costas del Mar Rojo.
Existen en Israel una veintena de logias que trabajan en idiomas distintos del hebreo: alemán, árabe, español, francés, inglés, rumano y turco. Nuestra Orden funciona activamente en Israel en todos sus grados y ritos tradicionales: Escocés y Yorquino.
La GRAN LOGIA DEL ESTADO DE ISRAEL mantiene relaciones fraternales con la mayor parte de las Grandes Logias del mundo. Podemos estar todos orgullosos del ejemplo de fraternidad y tolerancia que ha dado siempre nuestra Orden.
El sello de nuestra Gran Logia incluye los símbolos de las tres grandes religiones monoteístas: la cruz cristiana, la media luna mahometana y la estrella de David judía, enlazadas dentro del marco de laEscuadra y el Compás. Sobre nuestros altares se abren, uno al lado del otro, tres volúmenes: la Biblia judía, el Nuevo Testamento, y el Corán.
En este siglo que está terminando, la humanidad ha vivido algunas de las páginas más negras y estremecedoras de la historia. Después de haber experimentado tales horrores, deberíamos haber aprendido que el único camino para vivir con dignidad, como seres humanos, es mediante la paz, la tranquilidad y el respeto mutuo, la libertad y la igualdad. Lamentablemente, aun quedan lugares en el mundo donde persisten odiosos regímenes de discriminación racial y religiosa, donde la única ley es la del más fuerte.
La Organización de las Naciones Unidas, creada para promover los ideales de paz y concordia, no ha logrado imponer el acatamiento a estos elevados principios. Periódicamente la opinión pública se siente sacudida por sangrientos sucesos protagonizados por hombres cegados por el fanatismo y el odio.
Personalmente, estimo que la discriminación es un atentado contra la dignidad humana y moralmente condenable, fundamentada en la arrogancia y el orgullo de los hombres que la practican, y un factor destructivo, que corroe los fundamentos éticos de la sociedad.
Estoy orgulloso de haber nacido en la Argentina y de vivir y ser ahora ciudadano ante la ley y no reconocen clase privilegiada alguna. Como Francmasón, me siento entristecido de que aun queden lugares donde se practica la discriminación racial y formulo votos por que nuestra Augusta Orden, mediante su acción tenaz y justa, unida a todos aquellos que luchan en el mundo por imponer la igualdad de todos los seres humanos como principio de justicia, logren finalmente tener existo en tan noble causa.
Para terminar, quiero recordar que un día de junio del año 1942, una niña judía de 13 años, escondida con sus padres en una buhardilla de Amsterdam, bajo la ocupación de los nazis, recibió un cuaderno como regalo de cumpleaños. Lo utilizo para escribir su diario, que lo termina tres días antes de ser detenida con su familia y deportada al campo de concentración de Bergen-Belsen, donde murrio en marzo de 1945. Dos meses más tarde, el campo fue liberado por las fuerzas británicas.
En su última anotación, del 15 de julio de 1944, expresa ANA FRANK conceptos de increíble madurez y de espacial trascendencia para la humanidad, y dice:
“NO HE RENUNCIADO A LA ESPERANZA, AUNQUE PAREZCA ABSURDA E INALCANZABLE.
A PESAR DE TODO, CREO QUE, EN SU FUERO INTERNO, LAS PERSONAS NO SON MALAS.
SIGO CREYENDO EN LA BONDAD INNATA DE LOS SERES HUMANOS.”
(Tratto da: fenixnews.com)
Los masones se disponen a alzar la voz
La recién elegida gran maestre de la Gran Logia Simbólica Española, Nieves Bayo, sostiene que el mensaje de la vieja orden hace más falta que nunca
La víspera de la Asamblea General en que tomará posesión de su cargo, Nieves Bayo está dando un paseo por el centro de Valladolid cuando suena su móvil: es el pesadito del periodista, otro más, y ya ha perdido la cuenta de cuántos van. Hay que concertar una cita. Sí, en el hotel. Sí, a las cinco. Y de pronto, con esa voz rotunda:
-Por cierto. Hay que ver qué gente más atenta la de Valladolid. Qué amables, qué encantadores. Si vieras la tribuna tan estupenda que me han puesto aquí, delante del Ayuntamiento.
-¿Qué?
-Preciosa. Y no te pierdas a los de la banda de música, ¡cómo suenan! Están ensayando ahora mismo, ¿no les oyes? Todo un detalle, no me digas que no.
-Pero…
Y ahí, claro, suena la carcajada, porque esta aragonesa de Jaca, que pasa un poquito de los 50, tiene, entre otras muchas cosas, la virtud impagable el sentido del humor. Sabe bien que ni la engualdrapada tribuna ni los tipos del chundachunda están allí para ella. Están para el Rey, que presidirá el desfile del Día de las Fuerzas Armadas justo al mismo tiempo que a ella, a dos pasos de allí, en una ceremonia de conmovedora -por lo sencilla- solemnidad, le pongan el collar y el mandil de gran maestre de la Gran Logia Simbólica Española (GLSE): la más nutrida organización de cuantas integran la masonería liberal española.
Es la séptima persona a la que sus hermanos, por sufragio universal, echan sobre los hombros ese collar amarillo que a ella le parece pesadísimo. Y no por lo grueso de la tela sino porque, como ella dice, “aquí pasa una cosa que no ocurre en casi ninguna otra parte: cuanto más alto estás en la organización, más trabajas, menos duermes y más preocupaciones tienes. Cuánto he echado de menos, algunas veces, mi época de aprendiz. Y cuánto la voy a echar de menos durante estos tres años que vienen, me temo”.
La conversación es difícil porque el vestíbulo del hotel es un hervidero de masones y masonas que han llegado a Valladolid desde las cinco puntas de España (y desde bastante más lejos: Bélgica, Suecia, Uruguay, Portugal, Suiza, Francia, muchos lugares de Hispanoamérica, yo qué sé) y todos quieren saludar a Bebes, como la llaman; abrazarla, hacerse fotos, darle besos o ánimos. Y ella, que es como es, tiene un momento para cada uno, una palabra, un recuerdo, una broma, un quintal de paciencia. Así que, como decía un viejo colega de oficio, “he hecho entrevistas más tranquilas tirándome en paracaídas”.
La séptima persona desde 1980 y la segunda mujer, le digo. Ella: “¿Y qué? Eso no es importante. No significa más que una cosa: que la igualdad, en nuestra organización, funciona con toda naturalidad. No necesitamos leyes especiales para eso. ¿Qué más da que esto lo presida un hombre o una mujer? Nosotros trabajamos con personas”.
Democracia en peligro
Dice Nieves Bayo, en una pausa entre achuchón y achuchón, que cree que la democracia está en peligro. Le pregunto por qué. Y contesta: “Porque la democracia se fundamenta en la libertad y en la dignidad de las personas. En Grecia se llamaba así, pero hoy ya no se entiende la democracia con siervos o con súbditos, sino con ciudadanos. Y la crisis que estamos viviendo está acabando con eso: con la autoestima, con la dignidad de la gente. Se está agrediendo a nuestra condición de ciudadanos libres y dignos. Eso es lo peor. No es una crisis económica, no te equivoques: si acaso, es también económica. Pero es, en lo esencial, un ataque a los valores que hacen que un ser humano sea digno de tal nombre. Se está inoculando el miedo en el tejido social, en el corazón de cada uno de nosotros. Se nos está empujando a pensar que ya no valemos nada, ni para nada. Miedo a perder el trabajo, miedo a las represalias si protestas, a que te paguen lo que se les antoje y no lo que vale tu trabajo. Miedo a hacer y a decir lo que pensamos que es justo, que debe ser hecho y dicho: tú lo tienes que notar, que eres periodista. Una democracia en la que los muy ricos hagan lo que quieran con quienes no lo son, no puede llamarse democracia. Y hacia eso vamos. O hacia eso nos están llevando”.
Bien, pero ¿qué solución dan los masones a todo eso? Nieves Bayo sonríe: “Los masones siempre hemos dicho que no nos metemos en política. Es verdad, pero eso se refiere a la política de partido. Esto de lo que hablamos no tiene que ver, necesariamente, con los partidos: las fuerzas que mueven los hilos son otras. Es política en el sentido aristotélico de la palabra, es ciudadanía. Y ahí estamos, por coherencia con nuestros principios. Esta situación está acabando, te he dicho, con la libertad real de los ciudadanos. También con la igualdad. Y, como consecuencia, es imposible la fraternidad. Sí, nuestra vieja divisa de hace dos siglos. ¿Alguien se atreverá a decir que eso ya se ha conseguido, que la pelea tiene que ser por otras cosas más modernas? Yo creo que no. Cuando se agrede a los viejos principios, hay que reverdecerlos. Hay que volver a luchar por lo evidente, que decía Brecht”.
Pero eso ¿cómo se hace? La nueva gran maestre de la GLSE lo tiene bastante claro: “Mira los efectos de lo que nos está pasando: la gente va del miedo a la apatía, al egoísmo, al barrer para casa. Un masón jamás hace eso. Los masones somos los primeros que no aceptamos ni damos por válido todo lo que nos están echando encima; que no nos resignamos ni al miedo, ni a la desesperación, ni mucho menos a la apatía. En nuestras logias se trabaja por el perfeccionamiento personal, y eso quiere decir el estímulo del pensamiento, de la capacidad de argumentar, de razonar, de no dejarse engañar ni permitir que se engañe a otros. No ceder. No transigir con la injusticia. No rendirse. En las logias se ejercita todo aquello que nos hace personas libres y dignas. Nos preparamos para resistir el ataque a los valores propios del ser humano digno de tal nombre”.
“Y otra cosa te digo -concluye-: no nos podemos permitir el silencio. Creo de verdad que ya no tenemos derecho a estar callados. Tenemos que decir en voz alta lo que pensamos, como personas libres y como masones. Nuestro esfuerzo empieza en el interior de cada cual, pero no se puede quedar ahí. Ahora mismo eso sería terrible. Tenemos que levantar la voz, y ya verás si lo vamos a hacer, para defender a todas las personas aplastadas por la crisis y por la injusticia que genera. Hay quien dice de nosotros que somos un ‘termómetro ético’ de la sociedad. Pues vamos a dar la temperatura cada vez que haga falta. Y vaya si hace falta. La libertad y la dignidad están en peligro. No hay un minuto que perder”.
(Tratto da: fenixnews.com)
lunedì 11 giugno 2012
La GL Alpina de Suisse rompt avec la GLNF
Samedi 9 juin à 16 h 15, la Grande Loge Alpina de Suisse a décidé la RUPTURE de ses RELATIONS avec la Grande Loge Nationale Française (GLNF). Lors de son Convent, qui se tient à Bâle, le vote a été acquis avec 189 voix (98,4%), contre 3 et 6 abstentions. La GL Alpina compte 80 loges et 3 700 frères.
Le Grand Maître de la GL Alpina de Suisse, Jean-Michel Mascherpa, a déclaré juste après le vote de 16 h 15 qu’une réunion aura lieu ce samedi soir 9 juin avec les Grandes Loges voisines, celles d’Allemagne, d’Autriche, de Belgique et du Luxembourg, et qu’une déclaration commune sera rédigée. Ces quatre autres Grandes Loges pourraient donc décider ensemble de rompre également leurs relations avec la GLNF.
Ces cinq Grandes Loges européennes avaient déjà pris la décision fin 2011 d’initier la procédure de retrait de la reconnaissance de la GLNF.
(Tratto da: La Lumière)
España: Antoni Castillo reelegido Gran Maestre del Gran Oriente de Catalunya
Según informa el Gran Orient de Catalunya, Antoni Castillo i Nebra fue proclamado Gran Maestre de esta Obediencia para el periodo 2012 – 2015 por la Asamblea General, celebrada el pasado día 2 de Junio en Barcelona, después de que en el recuento de votos del escrutinio efectuado el pasados meses de Abril y Mayo obtuviera amplia mayoría.
Esta es la segunda y última legislatura del Hermano Castillo al frente del Gran Orient de Catalunya.
El Gran Orient de Catalunya es una Obediencia liberal adogmàtica que se circunscribe a los territorios de lengua catalana. Desde hace un año pertenece CLIPSAS.
(Tratto da: fenixnews.com)
sabato 9 giugno 2012
Instalación de Nieves Bayo como Gran Maestre de la Gran Logia Simbólica Española
El pasado sábado día 2 de Junio en el Oriente de Valladolid y en el transcurso de la Asamblea General de la Orden, fue instalada como Gran Maestre de la Gran Logia Simbólica Española la Hermana Nieves Bayo, que recibió el Primer Mallete de la Obediencia de manos del H.·. Jordi Farrerons, hasta ese momento Gran Maestre en activo.
Inmediatamente después de su instalación, Nieves Bayo se dirigió a la Asamblea y tras agradecer la confianza depositada en su persona manifestó su intención de trabajar en pos de alcanzar una mayor visibilidad e implicación de la GLSE en la sociedad, para lo cual se propone reforzar la comunicación externa de la Obediencia y a la vez valerse de todos los medios a su alcance para la divulgación interna al conjunto de Talleres y membresía bajo su jurisdicción.
La Gran Maestre expuso que la defensa de la laicidad como garante de convivencia democrática y de respeto a todas las sensibilidades de la ciudadanía, tendrá un lugar destacado en sus proyectos. Igualmente manifestó que la nueva dirección trabajaría de forma colegiada a la vez que lo hará con objetivos de potenciar el sentimiento de pertenencia a la GLSE; sin menoscabo alguno de las voluntades individuales ni de la soberanía de las logias por ser estas los pilares básicos de la libertad y emblema de la masonería.
La Gran Maestre Nieves Bayo siguió su intervención saludando las muy estimables relaciones con diversas Potencias Masónicas mundiales de visión Liberal e igualmente hizo mención a la importancia y potencial del Espacio Masónico de España como lugar de encuentro y de divulgación de la Masonería liberal o adogmática; finalizó su intervención incluyéndolos en su proyecto de potenciaciones de su legislatura.
Darán asistencia a la Gran Maestre como Grandes Maestres Adjuntos los HH.·. Manel Camòs y Esther Mascaró.
Relación de Potencias Masónicas asistentes
Como colofón de un día de tan intenso trabajo masónico se dio entrada a las otras Obediencias u organizaciones que habían querido acompañar a la GLSE en ese evento, y así fueron entrando por este orden:
Gran Logia Simbólica Helvética, Gran Logia Soberana de los Ritos Unidos, Gran Oriente de la Francmasonería Uruguaya, Gran Logia Femenina de España, Gran Oriente Latino Americano, Federación española del Derecho Humano, Grande Oriente Ibérico, Gran Oriente de Suiza , Gran Oriente Lusitano, Gran Oriente de Francia, Confederación Interamericana de Masonería Simbólica (CIMAS) y Supremo Consejo Masónico de España.
(Tratto da: fenixnews.com)
giovedì 7 giugno 2012
España: Las masonas creemos en la duda, la masonería es una escuela de ciudadanía
«Partimos de la libertad de conciencia, así que no estamos en contra de la religión católica ni de ninguna otra, trabajamos en la tolerancia»
Javier NEIRA
La abogada avilesina Paz Rodríguez es la venerable maestra -presidenta- de la logia Estrella del Norte, con sede en Gijón, única logia femenina de Asturias. Está formada por 14 mujeres. En España hay nueve logias femeninas y en conjunto suman unas doscientas mujeres. Las masonas asturianas ofrecerán hoy, a las siete y media de la tarde, una conferencia en Avilés, en el Centro Municipal de Arte y Exposiciones «El Arbolón» con el título «La mujer en la masonería». Presentará Paz Rodríguez e intervendrán Ana María Lorente, gran maestra de la Gran Logia Femenina de España y Concha Pedrosa, licenciada en Historia. Mañana, en Gijón, Estrella del Norte se hermanará con la logia francesa Diotima.
-¿Cómo y por qué se hermanarán con la logia Diotima?
-El sábado, en Gijón, vamos a hacer una ceremonia de hermanamiento de dos logias Estrella del Norte, de la Gran Logia Femenina de España, con una logia de la Gran Logia Femenina de Francia que se llama Diotima que está en Marmande, entre Toulouse y Burdeos. Tres hermanas de Diotima son fundadoras de Estrella del Norte y nos traen la luz para abrir los trabajos.
-Lo dicho, ¿cómo?
-Lo hacemos como una tenida ritualística a desarrollar con dos actos. Primero en el mes de abril hicimos una ceremonia en Marmande y ahora, en Gijón, celebraremos la segunda parte. Todo según un ritual que es muy bonito y pensando siempre en unir lazos de fraternidad. Pertenecemos al Rito Escocés Antiguo y Aceptado.
-¿Por qué el nombre de Estrella del Norte?
-Porque somos del Norte ya que vivimos en el Norte y porque buscamos una luz, de ahí la referencia a la estrella.
-¿Para qué?
-Buena pregunta. Cada persona busca una cosa distinta en la masonería. Cada cual tiene su perspectiva. La razón común, el motivo, es mejorar como persona para, de esa forma, mejorar la sociedad; también cuenta mucho el deseo de encontrar respuestas. La masonería quiere que mejore la Humanidad y por eso estoy yo ahí; y como yo, las demás y los demás.
-¿Cómo?
-Es una escuela de aprendizaje para los ciudadanos. Es muy necesaria, siempre ha sido necesaria y más ahora con todo lo que está cayendo. Hay que recuperar los valores, aunque no sé si es correcto ese argumento porque para recuperar algo hay que haberlo tenido antes y no está claro qué valores eran ya seguros en nuestras sociedades actuales. Están ocurriendo cosas muy complicadas y hay desconcierto en los valores y en los planteamientos éticos, y la masonería ayuda en ese sentido. La gente se compromete al formar parte de una logia donde se asumen responsabilidades que después se pueden trasladar a la vida profana. De esa forma pueden ir modificando para mejor las cosas que le rodean. Si así se hace, el entorno irá modificándose positivamente.
-¿La masonería es un sindicato de intereses? Eso se dice.
-No, no estoy de acuerdo. No sé cómo funcionan otras obediencias, no sé si se comportan como sindicatos o grupos de apoyo, pero en lo que yo conozco la masonería predica y debe trabajar para la fraternidad; de manera que no es un sindicato. Nos ayudamos, pero no por que seamos hermanos sino porque hay que ayudar al prójimo en general. Debemos ayudar a la Humanidad en su conjunto y también a cada cual, ése es nuestro ideal. Si por la cercanía de la logia conectamos más directamente, mejor; pero nada más. No es un sindicato en absoluto.
-Es relativista.
-La masonería sí cree.
-¿En qué?
-Las masonas creemos en la duda, la masonería es una escuela de ciudadanía. Te enseña a dudar. Te ayuda a dudar. No relativiza las cosas, sino que te anima a cuestionártelas y de ahí sale la libertad, esa actitud es una gran fuente de libertad.
-Es anticatólica.
-Incierto.
-Demuéstrelo.
-Demuestre usted su afirmación.
-Bueno…
-La Gran Logia de España, que representa lo que se llama regularidad, tiene como requisito de pertenencia creer en Dios o en un ser supremo. Esa crítica, esa suposición de que la masonería es anticatólica, choca al menos con el criterio de la regularidad. Más aún. En la masonería partimos de la libertad de conciencia, así que no estamos en contra de la religión católica ni de ninguna otra, trabajamos en la tolerancia, según los criterios de la tolerancia de manera que respeta profundamente todas las religiones y quiere que todas sean respetadas.
-No así la masonería francesa, me temo.
-Tampoco es correcta esa afirmación. La masonería francesa es genuinamente laica y ése es un principio de la masonería. No tiene nada de anticatolicismo ni de anti-Iglesia ni está en contra de ninguna religión. Al revés, el laicismo enlaza directamente con la tolerancia y eso es bueno para las religiones. Las críticas que se hacen en ese sentido ponen sencillamente las cosas del revés.
-Los ideales masónicos se han cumplido, vivimos en sociedades libres, con las necesidades básicas cubiertas…
-No, mientras haya gente con necesidades no están cumplidos los ideales masónicos; y mientras haya gente que no tiene libertad, tampoco. Mientras haya gente que no puede decidir por sí misma, no están cumplidos. Todo eso se cumple a nivel de Estado con la Constitución y las normas que garantizan los derechos, pero hay que ver si esos derechos están también en la calle. No creo que todos gocen de esos derechos.
-¿Por qué hay tan pocos masones en España?
-Creo que en España hay miedo. Ésa es una responsabilidad de los propios masones. No se sabe quiénes son, no dan la cara, tienen miedo de que los señalen con el dedo. Las personas que me conocen y que no saben que soy masona y que lo sabrán ahora, por esta entrevista, espero y deseo que no me ven y califiquen de otra manera en lo sucesivo. La masonería puede parecer una secta con un tabú, pero al ubicar en la masonería a una persona que es de una determinada manera se deja de ver como una institución problemática con determinadas etiquetas. Por otra parte, la masonería no está para ponerse medallas sino para mejorar y, a partir de ahí, construir el resto. Un cargo no es una medalla, es una responsabilidad.
-¿Y la familia?
-La masonería compromete a la familia y quizá más en el caso de la masonería femenina. Muchas hermanas son jóvenes y llevan a sus hijos a las tenidas y eso implica también un mayor compromiso.
(Tratto da: fenixnews.com)
Argentina: Sólo en Buenos Aires hay 1.800 masones en actividad
Es el Gran Maestre de la Logia Masónica Argentina. Dice que en todos los gobiernos hubo masones. Y se define por la educación pública y apoya el matrimonio igualitario.
La gran puerta del Gran Templo de Perón 1242 se abre y, para atravesarla, hay que pasar debajo de un escudo con una escuadra y un compás. Ya en el hall, los bustos de San Martín y Sarmiento recuerdan la influencia masónica en la fundación de la Argentina. Sarmiento fue Gran Maestre de la masonería hasta que asumió la presidencia de la Nación, en 1868. Hoy su sillón es ocupado por Angel Jorge Clavero, un despachante de aduanas.
Clavero tiene 68 años, hace 27 que es masón y hace cuatro que es el Gran Maestre de la Gran Logia de la Argentina de Libres y Aceptados Masones. Está casado y tiene una hija de 35 años. “Entré en la masonería por una búsqueda interior –cuenta–. Hace años, un señor mayor del comité radical donde yo militaba, me dio un folleto y la solicitud de ingreso. Pero murió y me quedé sin padrino.
Solía pasar por la puerta del templo y no me animaba a tocar el timbre. Hasta que, también en el comité, conocí a dos masones que me trajeron”. Ahora, todo es más fácil porque la institución está en un proceso de apertura. La solicitud se puede presentar por Internet en www.masoneria-argentina.org.ar. Después hay que pasar por tres entrevistas. “Es para ver si el aspirante es dogmático. Si lo es, no ingresa”, advierte el Gran Maestre.
Dogmático es el que presume que su doctrina o sus aseveraciones son verdades indiscutibles. “Nosotros no tenemos la verdad, la estamos buscando –diferencia Clavero–. Usamos la razón y somos hijos de la duda filosófica. Los dogmatismos religiosos y políticos han sido siempre enemigos de la masonería”. Y recuerda la ley del franquismo que reprimía “a la masonería y el comunismo”. “Si tenías de grado 18 para arriba, te fusilaban. Los de grado menor, iban presos. La masonería era secreta porque era perseguida. Ahora es discreta: un masón no puede revelar la identidad de otro”, cuenta. El tiene grado 33, el máximo.
La Iglesia Católica también los condena. “La masonería no es una secta, es un modo de filosofar –aclara Clavero–. Es abierta, laica y librepensadora. Aspira a que el ser humano piense por sí mismo y a que tenga libertad de conciencia. Busca un mejor hombre para que sea un mejor ciudadano y así mejorar la calidad de vida política de los países. En todos los gobiernos hubo, hay y habrá masones. Sólo en Buenos Aires, hay 1.800 masones activos”.
Los primeros masones fueron constructores de castillos, abadías e iglesias en Europa, en los siglos XI y XII. “En 1717, pasaron de la construcción operativa a la especulativa y sumar a personas que no venían de la construcción –dice Clavero–. Su fin cambió a construir el templo interior del ser humano. Era el siglo de la ilustración. La masonería adhiere a los principios de la Revolución Francesa: Libertad, Igualdad y Fraternidad. Entre nosotros nos llamamos hermanos”.
Las logias porteñas se reúnen en tenidas una vez por semana. “Aprendemos a pensar con el método simbólico –explica–. Los símbolos son elementos de la construcción. La escuadra es la rectitud y la lleva el presidente de la Logia. El compás marca nuestros derechos y que no debemos salirnos de ellos para no interferir con los de los otros. Cuando aparecen las pasiones, se muestra la trulla, que se usa para alisar revoques y asperezas”.
En las tenidas reflexionan sobre distintos temas. “Uno frecuente es la educación: la masonería es defensora de la educación pública y laica, agente del ascenso social”, dice Clavero. Y cuenta que apoyaron el matrimonio igualitario y ahora trabajan sobre la ley de identidad de género. “La masonería es progresista y se adapta a los tiempos”, asegura. Pero la Gran Logia está integrada sólo por hombres. “Desde hace 10 años, hay logias femeninas. Para formar logias mixtas hay que hacer un cambio internacional. Pero sabemos que es una asignatura pendiente”, concede antes de despedirse. Es hora de colocarse el mandil. La tenida está por empezar.
La gran puerta del Gran Templo de Perón 1242 se abre y, para atravesarla, hay que pasar debajo de un escudo con una escuadra y un compás. Ya en el hall, los bustos de San Martín y Sarmiento recuerdan la influencia masónica en la fundación de la Argentina. Sarmiento fue Gran Maestre de la masonería hasta que asumió la presidencia de la Nación, en 1868. Hoy su sillón es ocupado por Angel Jorge Clavero, un despachante de aduanas.
Clavero tiene 68 años, hace 27 que es masón y hace cuatro que es el Gran Maestre de la Gran Logia de la Argentina de Libres y Aceptados Masones. Está casado y tiene una hija de 35 años. “Entré en la masonería por una búsqueda interior –cuenta–. Hace años, un señor mayor del comité radical donde yo militaba, me dio un folleto y la solicitud de ingreso. Pero murió y me quedé sin padrino.
Solía pasar por la puerta del templo y no me animaba a tocar el timbre. Hasta que, también en el comité, conocí a dos masones que me trajeron”. Ahora, todo es más fácil porque la institución está en un proceso de apertura. La solicitud se puede presentar por Internet en www.masoneria-argentina.org.ar. Después hay que pasar por tres entrevistas. “Es para ver si el aspirante es dogmático. Si lo es, no ingresa”, advierte el Gran Maestre.
Dogmático es el que presume que su doctrina o sus aseveraciones son verdades indiscutibles. “Nosotros no tenemos la verdad, la estamos buscando –diferencia Clavero–. Usamos la razón y somos hijos de la duda filosófica. Los dogmatismos religiosos y políticos han sido siempre enemigos de la masonería”. Y recuerda la ley del franquismo que reprimía “a la masonería y el comunismo”. “Si tenías de grado 18 para arriba, te fusilaban. Los de grado menor, iban presos. La masonería era secreta porque era perseguida. Ahora es discreta: un masón no puede revelar la identidad de otro”, cuenta. El tiene grado 33, el máximo.
La Iglesia Católica también los condena. “La masonería no es una secta, es un modo de filosofar –aclara Clavero–. Es abierta, laica y librepensadora. Aspira a que el ser humano piense por sí mismo y a que tenga libertad de conciencia. Busca un mejor hombre para que sea un mejor ciudadano y así mejorar la calidad de vida política de los países. En todos los gobiernos hubo, hay y habrá masones. Sólo en Buenos Aires, hay 1.800 masones activos”.
Los primeros masones fueron constructores de castillos, abadías e iglesias en Europa, en los siglos XI y XII. “En 1717, pasaron de la construcción operativa a la especulativa y sumar a personas que no venían de la construcción –dice Clavero–. Su fin cambió a construir el templo interior del ser humano. Era el siglo de la ilustración. La masonería adhiere a los principios de la Revolución Francesa: Libertad, Igualdad y Fraternidad. Entre nosotros nos llamamos hermanos”.
Las logias porteñas se reúnen en tenidas una vez por semana. “Aprendemos a pensar con el método simbólico –explica–. Los símbolos son elementos de la construcción. La escuadra es la rectitud y la lleva el presidente de la Logia. El compás marca nuestros derechos y que no debemos salirnos de ellos para no interferir con los de los otros. Cuando aparecen las pasiones, se muestra la trulla, que se usa para alisar revoques y asperezas”.
En las tenidas reflexionan sobre distintos temas. “Uno frecuente es la educación: la masonería es defensora de la educación pública y laica, agente del ascenso social”, dice Clavero. Y cuenta que apoyaron el matrimonio igualitario y ahora trabajan sobre la ley de identidad de género. “La masonería es progresista y se adapta a los tiempos”, asegura. Pero la Gran Logia está integrada sólo por hombres. “Desde hace 10 años, hay logias femeninas. Para formar logias mixtas hay que hacer un cambio internacional. Pero sabemos que es una asignatura pendiente”, concede antes de despedirse. Es hora de colocarse el mandil. La tenida está por empezar.
(Tratto da: fenixnews.com)
(Tratto da:
martedì 5 giugno 2012
GLNF : nouvelle joute judiciaire entre François STIFANI et Monique LEGRAND
LE 1 JUIN 2012 23H42 | PAR
FRANÇOIS KOCH
Le 29 mai 2012, devant la 5e Chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris, François STIFANI, Grand Maître de la GLNF, a de nouveau affronté Me Monique LEGRAND, administrateur provisoire de l’obédience. Après s’être débarrassé de la majeure partie des opposants, le haut dignitaire souhaite tout simplement convaincre la Justice que la mission de Me Legrand a pris fin depuis le 30 mars 2012, jour de la désignation de lui-même comme candidat à la Grande Maîtrise, pour un second mandat de cinq années. J’avais évoqué cette procédure le 2 mai dernier.
L’essentiel du débat judiciaire porte sur l’interprétation qu’il convient de donner de l’ordonnance du TGI de Paris en date du 15 février 2012 désignant Me Monique Legrand : « Disons que la mission de Maître LEGRAND cessera de plein droit à compter de la désignation des organes de direction de l’association, telle qu’elle résultera notamment de la désignation du nouveau Grand Maître, en application des statuts, du règlement intérieur, et des Constitutions de l’Ordre »
Pour Me Jean-Michel Baloup, Grand Orateur et avocat de François Stifani, le terme « désignation » ne vise dans les statuts que le vote par le Souverain Grand Comité (SGC), qui a eu lieu le 30 mars 2012. Il en déduit que la mission de Me Legrand est terminée.
Pour Me Stéphane Dumaine-Martin, avocat de Me Monique Legrand, sa cliente a reçu mission jusqu’à « la désignation du nouveau Grand Maître » et pas seulement du « candidat à la Grande Maîtrise« . Or le 30 mars 2012, c’est bien le candidat qui a été élu, pas le nouveau Grand Maître. Me Dumaine-Martin accuse donc Stifani de passer par pertes et profits la phase de ratification où l’AG (au sein de laquelle les représentants des loges sont largement majoritaires) doit approuver le choix du SGC… ou pas.
C’est la seconde procédure qui oppose Stifani et Legrand. La première concerne justement la validité du scrutin du 30 mars 2012 : Stifani avait obtenu du Tribunal de Paris que le scrutin soit à un tour et non pas deux tours. Cette affaire a été plaidée en appel. Et l’arrêt sera rendu 21 juin.
Résumons. Un jugement du TGI de Paris le 19 juin. Un arrêt de la Cour d’appel de Paris le 21 juin. Au sujet de l’AG de ratification programmée le 23 juin. Et dont la gouvernance Stifani dit déjà qu’elle n’aura pas lieu :Grand Conseil GLNF 24.05.2012. Le Grand Maître espère pouvoir s’appuyer sur l’une des deux décisions judiciaires (probablement celle de la Cour d’appel) pour justifier son refus d’une AG de ratification en juin plutôt qu’en décembre. Principal avantage : il restera au sein de la GLNF beaucoup moins d’opposants à la fin du second semestre qu’à la fin de premier.
(Tratto da: La Lumière)
À Rochefort, une exposition maçonnique vous invite aux voyages
Franc-Maçonnerie et voyages, de la réalité opérative à la réflexion spéculative
La Fayette et quelques grands voyageurs de la pensée humaine
Du 14 mai au 31 août 2012, la Grande Loge de France organise en collaboration avec le Service Historique de la Défense (SHD), une exposition à Rochefort, ville où se trouve l’une de ses plus belles et anciennes Loges, « l’Accord Parfait », créée en 1776.
Cette manifestation sera consacrée essentiellement au thème du voyage dans la franc-maçonnerie avec un accent tout particulier porté sur les implications de la franc-maçonnerie locale dans ce domaine.
Avec une première partie dédiée aux voyages physiques, elle présentera des objets importés avec symboles (porcelaine des indes, objets en laques du Japon, argenterie fabriquée en Inde, etc.), des objets fabriqués par des maçons lors de déplacements et retracera l’influence de ces expéditions sur les attributs de cérémonie des maçons et l’architecture des temples.
Une deuxième partie sera consacrée aux voyages intérieurs et métaphysiques, tels qu’ils sont décrits dans les rituels et résumés sur des éléments de décors des temples. Enfin, elle mettra en exergue les liaisons fortes entre la franc-maçonnerie, les grands expéditeurs et les marins.
Des pièces jusqu’alors inédites au public, une reconstruction de Temple réalisée au moyen d’une partie du mobilier historique (vers 1840) de la Loge « Accord Parfait », ainsi qu’une plongée au XVIIIème siècle à travers l’évocation de quelques-uns des grands francs-maçons historiques tels que le Duc de Chartres ou La Fayette proposeront par le biais de ce patrimoine maçonnique remarquable, une belle invitation au voyage.
Renseignements pratiques :
Exposition du 14 mai au 31 août 2012
Au Service Historique de la Défense, 4 rue du Port à Rochefort
Accès libre du lundi au vendredi
Horaires : 08 h30 à 17 h00, visites commentées sur demande.
05 46 87 74 90
(Tratto da: gldf.org)
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Grande Loge de France
venerdì 1 giugno 2012
Vaticano, cinque laici nel mirino degli inquirenti
Pronte le rogatorie per l'autore
di "Sua Santità" e per alcuni dipendenti dei Sacri palazzi
GIACOMO GALEAZZI
CITTA' DEL VATICANO
Al ministero di Giustizia attendono dai magistrati vaticani due distinte richieste di rogatoria: una per i dipendenti laici della Santa Sede che risiedono in Italia e una per Gianluigi Nuzzi, autore di «Sua Santità», il libro che ha reso pubbliche alcune carte segrete del Papa e per il suo editore Lorenzo Fazio di Chiarelettere. Nel mirino degli investigatori ci sono cinque persone che, con diverse ipotesi di reato (furto aggravato, ricettazione, attentato alla sicurezza dello Stato) potrebbero finire a giudizio. Benedetto XVI, nella preghiera di chiusura del mese mariano, auspica che ci sia più letizia anche in Vaticano: «La "famiglia" della Santa Sede serve la Chiesa universale». I legali del maggiordomo papale, Paolo Gabriele, detenuto da nove giorni nella caserma della Gendarmeria, presenteranno al giudice istruttore la richiesta di libertà vigilata o di arresti domiciliari. Intanto le indagini sulla fuga di carte riservate dal Vaticano e dal tavolo di lavoro del Pontefice si stanno concentrando sul materiale sequestrato nell'appartamento dell'assistente di camera di Benedetto XVI. Fra la documentazione rinvenuta nel corso delle perquisizioni e ora all'esame dei magistrati della Santa Sede, ci sono anche documenti scritti in tedesco, la lingua parlata dal Papa, e da pochi altri stretti collaboratori, ma non dallo stesso Gabriele. Gli interrogatori del maggiordomo del Pontefice non cominceranno prima della settimana prossima, forse tra lunedì e martedì. Perché ciò avvenga, infatti, l'avvocato di Gabriele, Carlo Fusco, dovrà avanzare istanza formale. In questi giorni l'indagato sta infatti avendo diversi colloqui con il suo legale e ha dichiarato la propria intenzione di collaborare per consentire di appurare la verità su quanto è avvenuto. Sentire Nuzzi servirà invece ad accertare se c'è stato il passaggio di carte tra il maggiordomo e l'autore del libro.
«De facto» stanno seguendo percorsi paralleli le inchieste sui «corvi» condotte dalla commissione cardinalizia, che riferisce al Pontefice e al suo segretario don Georg, e dalla gendarmeria, che fa riferimento al segretario di Stato, Tarcisio Bertone. Con il trasferimento negli Usa dell'arcivescovo Viganò (entrato in rotta di collisione con Bertone dopo la sua denuncia di malaffare in Curia), i nuovi vertici del Governatorato, Bertello e Sciacca hanno posto l'ispettorato guidato dal comandante Domenico Giani nell'alveo bertoniano. E così la Santa Sede ha dovuto precisare che i cardinali possono essere interrogati solo dai loro pari grado Herranz, De Giorgi, Tomko. Insomma c'è divergenza anche tra le due entità che stanno indagando sulla fuga di notizie da cui esce gravemente incrinata l'attuale «governance» vaticana, impegnata in una lotta senza quartiere con la vecchia guardia diplomatica (Sodano, Sandri, Re).
L'attivismo della gendarmeria tra bunker per le intercettazioni di telefonate e mail, hacker ingaggiati per scoprire le «talpe» e indagini negli uffici curiali turba consolidati assetti interni. E in questo clima di veleni e sospetti, torna oggi a riunirsi la commissione di vigilanza sullo Ior, dopo che venerdì scorso i cardinali che la compongono si erano spaccati sul brusco allontanamento del presidente Ettore Gotti Tedeschi. Da oggi a domenica arriva per il Papa la boccata d'ossigeno tanto attesa, fuori dal clima dei «veleni» e dalla bufera che ha investito il Vaticano e scosso il governo della Chiesa. Benedetto XVI punta sull'Incontro della famiglie di Milano per riportare in primo piano valori pastorali e spirituali rimasti offuscati dall'imperversare del ciclone «Vatileaks». Intanto ieri sera, alla tradizionale processione nei Giardini vaticani, di fronte anche ai cardinali di Curia e ai vescovi, il Pontefice ha auspicato che la «letizia spirituale sia più consolidata nei nostri animi, nella nostra vita personale e familiare, in ogni ambiente», e «specialmente nella vita di questa famiglia che qui in Vaticano serve la Chiesa universale». Corvi e talpe non spaventano il Papa teologo.
«De facto» stanno seguendo percorsi paralleli le inchieste sui «corvi» condotte dalla commissione cardinalizia, che riferisce al Pontefice e al suo segretario don Georg, e dalla gendarmeria, che fa riferimento al segretario di Stato, Tarcisio Bertone. Con il trasferimento negli Usa dell'arcivescovo Viganò (entrato in rotta di collisione con Bertone dopo la sua denuncia di malaffare in Curia), i nuovi vertici del Governatorato, Bertello e Sciacca hanno posto l'ispettorato guidato dal comandante Domenico Giani nell'alveo bertoniano. E così la Santa Sede ha dovuto precisare che i cardinali possono essere interrogati solo dai loro pari grado Herranz, De Giorgi, Tomko. Insomma c'è divergenza anche tra le due entità che stanno indagando sulla fuga di notizie da cui esce gravemente incrinata l'attuale «governance» vaticana, impegnata in una lotta senza quartiere con la vecchia guardia diplomatica (Sodano, Sandri, Re).
L'attivismo della gendarmeria tra bunker per le intercettazioni di telefonate e mail, hacker ingaggiati per scoprire le «talpe» e indagini negli uffici curiali turba consolidati assetti interni. E in questo clima di veleni e sospetti, torna oggi a riunirsi la commissione di vigilanza sullo Ior, dopo che venerdì scorso i cardinali che la compongono si erano spaccati sul brusco allontanamento del presidente Ettore Gotti Tedeschi. Da oggi a domenica arriva per il Papa la boccata d'ossigeno tanto attesa, fuori dal clima dei «veleni» e dalla bufera che ha investito il Vaticano e scosso il governo della Chiesa. Benedetto XVI punta sull'Incontro della famiglie di Milano per riportare in primo piano valori pastorali e spirituali rimasti offuscati dall'imperversare del ciclone «Vatileaks». Intanto ieri sera, alla tradizionale processione nei Giardini vaticani, di fronte anche ai cardinali di Curia e ai vescovi, il Pontefice ha auspicato che la «letizia spirituale sia più consolidata nei nostri animi, nella nostra vita personale e familiare, in ogni ambiente», e «specialmente nella vita di questa famiglia che qui in Vaticano serve la Chiesa universale». Corvi e talpe non spaventano il Papa teologo.
(Tratto da: www3.lastampa.it)
Mélenchon, le maçon qui dépasse les bornes
LE 30 MAI 2012 0H05 | PAR FRANÇOIS KOCH
Jean-Luc Mélenchon et ses diatribes populistes contre la presse et les journalistes, des dérapages plus ou moins contrôlés comme on cajole un fonds de commerce, on avait presque fini par s’y habituer. Mais là, le tribun du Front de gauche a dépassé toutes les limites de l’ignominie en insultant gravement le rédacteur de L’Express Tugdual DENIS. Il l’a accusé d’être « personnellement lié à l’extrême-droite » avant de lui lancer : « Qu’est-ce que vous faites encore là, sale petit espion ? Rentrez à Paris écrire vos saloperies dans votre journal fasciste. Fichez-moi le camp, dégagez ! »
Jean-Luc Mélenchon et ses diatribes populistes contre la presse et les journalistes, des dérapages plus ou moins contrôlés comme on cajole un fonds de commerce, on avait presque fini par s’y habituer. Mais là, le tribun du Front de gauche a dépassé toutes les limites de l’ignominie en insultant gravement le rédacteur de L’Express Tugdual DENIS. Il l’a accusé d’être « personnellement lié à l’extrême-droite » avant de lui lancer : « Qu’est-ce que vous faites encore là, sale petit espion ? Rentrez à Paris écrire vos saloperies dans votre journal fasciste. Fichez-moi le camp, dégagez ! »
De telles méthodes d’intimidations sont dignes des procès de Moscou de triste mémoire, cette violence et ce type d’accusations étaient utilisées par les staliniens du PCF contre les militants trotskistes ! Le comble c’est que Jean-Luc Mélenchon a subi ces insultes absurdes (« hitléro-trotskiste ! « ) alors qu’il était membre de l’Organisation Communiste Internationaliste (OCI, trotskiste). De surcroît, lorsqu’il injurie un journaliste, il est content de lui, s’auto-félicitant de sa « franchise » ! C’est d’ailleurs un multirécidiviste, puisque deux jours plus tard, il a recommencé avec un journaliste du Parisien.
Qu’a donc appris Jean-Luc Mélenchon au Grand Orient de France où il fut initié en 1985 ? A rédiger de brillantes planches sur la laïcité, sans doute, comme en 2008. Mais pas à respecter les autres, alors qu’il s’agit d’une valeur maçonnique. Sinon pourrait-il lancer de telles accusations, aussi injurieuses que diffamatoires ?
Est-ce le dérapage de trop ? Les syndicats CFDT et CGT de Groupe Express Roularta (majoritaires) comme la Société des Journalistes de L’Express ont vivement réagi : les premiers se disent « révoltés« , la seconde « condamne avec la plus grande fermeté« .
Qu’a donc appris Jean-Luc Mélenchon au Grand Orient de France où il fut initié en 1985 ? A rédiger de brillantes planches sur la laïcité, sans doute, comme en 2008. Mais pas à respecter les autres, alors qu’il s’agit d’une valeur maçonnique. Sinon pourrait-il lancer de telles accusations, aussi injurieuses que diffamatoires ?
Est-ce le dérapage de trop ? Les syndicats CFDT et CGT de Groupe Express Roularta (majoritaires) comme la Société des Journalistes de L’Express ont vivement réagi : les premiers se disent « révoltés« , la seconde « condamne avec la plus grande fermeté« .
LIRE CI-DESSOUS LES DEUX COMMUNIQUES EN INTÉGRALITÉ.
COMMUNIQUÉ
Les syndicats CFDT et CGT de Groupe Express Roularta (GER) sont révoltés par les propos que Jean-Luc Mélenchon a tenus le 26 mai à l’encontre de Tugdual DENIS, journaliste à L’Express. Notre collègue couvrait sa campagne législative à Méricourt (Pas-de-Calais) et le candidat du Front de gauche lui a lancé : « Qu’est-ce que vous faites encore là, sale petit espion ? Ça fait trois jours que vous m’espionnez, rentrez à Paris écrire vos saloperies dans votre journal fasciste. Fichez-moi le camp, dégagez ! »
Attachés à la liberté de la presse autant qu’ils le sont à la liberté d’opinion, les syndicats CFDT et CGT de GER protestent vigoureusement contre ces agressions verbales et cette singulière assimilation du reportage d’un journaliste à de l’espionnage. Ils assurent Tugdual DENIS de leur entier soutien et de leur estime confraternelle.
Qualifier L’Express de « journal fasciste », c’est insulter gravement tous ses journalistes. Accuser notre collègue d’être lié à l’extrême droite est indigne : en s’en prenant violemment à un journaliste, Jean-Luc Mélenchon étale son mépris pour un salarié exerçant son métier dans le respect absolu de la déontologie professionnelle.
Les travailleurs de la presse ne poursuivent qu’un seul objectif : informer les citoyens. Ils sont à ce titre des acteurs essentiels de la démocratie, alors même qu’ils exercent leur profession dans des conditions de plus en plus difficiles.
Ceux qui prétendent défendre les droits des salariés et la liberté de la presse ne devraient jamais l’oublier. Si Jean-Luc Mélenchon est de ceux-là, il devra changer radicalement de comportement.
Les syndicats CFDT et CGT de Groupe Express Roularta, le 29 mai 2012
Les syndicats CFDT et CGT de Groupe Express Roularta (GER) sont révoltés par les propos que Jean-Luc Mélenchon a tenus le 26 mai à l’encontre de Tugdual DENIS, journaliste à L’Express. Notre collègue couvrait sa campagne législative à Méricourt (Pas-de-Calais) et le candidat du Front de gauche lui a lancé : « Qu’est-ce que vous faites encore là, sale petit espion ? Ça fait trois jours que vous m’espionnez, rentrez à Paris écrire vos saloperies dans votre journal fasciste. Fichez-moi le camp, dégagez ! »
Attachés à la liberté de la presse autant qu’ils le sont à la liberté d’opinion, les syndicats CFDT et CGT de GER protestent vigoureusement contre ces agressions verbales et cette singulière assimilation du reportage d’un journaliste à de l’espionnage. Ils assurent Tugdual DENIS de leur entier soutien et de leur estime confraternelle.
Qualifier L’Express de « journal fasciste », c’est insulter gravement tous ses journalistes. Accuser notre collègue d’être lié à l’extrême droite est indigne : en s’en prenant violemment à un journaliste, Jean-Luc Mélenchon étale son mépris pour un salarié exerçant son métier dans le respect absolu de la déontologie professionnelle.
Les travailleurs de la presse ne poursuivent qu’un seul objectif : informer les citoyens. Ils sont à ce titre des acteurs essentiels de la démocratie, alors même qu’ils exercent leur profession dans des conditions de plus en plus difficiles.
Ceux qui prétendent défendre les droits des salariés et la liberté de la presse ne devraient jamais l’oublier. Si Jean-Luc Mélenchon est de ceux-là, il devra changer radicalement de comportement.
Les syndicats CFDT et CGT de Groupe Express Roularta, le 29 mai 2012
Communiqué de la Société des journalistes de L’Express
La Société des journalistes de L’Expresscondamne avec la plus grande fermeté la dernière agression verbale de Jean-Luc Mélenchon à l’encontre d’un membre de notre rédaction.
Le député européen a encore franchi la ligne rouge du débat démocratique pour revêtir les oripeaux de petit procureur stalinien. Par deux fois, les 23 et 26 mai, en pleine campagne électorale dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, le leader du Front de gauche s’en est pris à l’envoyé spécial de L’Express en le traitant de « sale petit espion » et en qualifiant notre hebdomadaire de « journal fasciste ». Dans une logorrhée nauséabonde, le candidat continue de lancer des invectives contre la presse en général et contre L’Express en particulier, à qui il reproche finalement d’être libres. Libres de l’interroger sur son programme, libres de le faire réagir sur les déclarations de ses adversaires, libres d’informer en toute impartialité, quoiqu’il en dise, et libres de considérer que ses outrances ne grandissent pas son combat politique.
Jour après jour, il vocifère contre les médias, n’hésitant pas à mettre en cause l’honneur et la déontologie de notre profession. La rédaction de L’Express, le journal de Jean-Jacques Servan-Schreiber, de Françoise Giroud, de François Mauriac, d’Albert Camus, de Raymond Aron… n’a aucune leçon à recevoir de Monsieur Mélenchon. L’histoire de notre titre, dont nous sommes collectivement les héritiers et les garants, nous place à mille lieues de telles calomnies.
La Société des journalistes de L’Express sera à l’avenir particulièrement attentive aux déclarations de Jean-Luc Mélenchon et donnera à ses propos diffamatoires les suites judiciaires appropriées. La liberté de la presse est un bien trop précieux pour laisser les intimidations de quiconque l’empêcher de s’exercer.
La Société des journalistes de L’Expresscondamne avec la plus grande fermeté la dernière agression verbale de Jean-Luc Mélenchon à l’encontre d’un membre de notre rédaction.
Le député européen a encore franchi la ligne rouge du débat démocratique pour revêtir les oripeaux de petit procureur stalinien. Par deux fois, les 23 et 26 mai, en pleine campagne électorale dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, le leader du Front de gauche s’en est pris à l’envoyé spécial de L’Express en le traitant de « sale petit espion » et en qualifiant notre hebdomadaire de « journal fasciste ». Dans une logorrhée nauséabonde, le candidat continue de lancer des invectives contre la presse en général et contre L’Express en particulier, à qui il reproche finalement d’être libres. Libres de l’interroger sur son programme, libres de le faire réagir sur les déclarations de ses adversaires, libres d’informer en toute impartialité, quoiqu’il en dise, et libres de considérer que ses outrances ne grandissent pas son combat politique.
Jour après jour, il vocifère contre les médias, n’hésitant pas à mettre en cause l’honneur et la déontologie de notre profession. La rédaction de L’Express, le journal de Jean-Jacques Servan-Schreiber, de Françoise Giroud, de François Mauriac, d’Albert Camus, de Raymond Aron… n’a aucune leçon à recevoir de Monsieur Mélenchon. L’histoire de notre titre, dont nous sommes collectivement les héritiers et les garants, nous place à mille lieues de telles calomnies.
La Société des journalistes de L’Express sera à l’avenir particulièrement attentive aux déclarations de Jean-Luc Mélenchon et donnera à ses propos diffamatoires les suites judiciaires appropriées. La liberté de la presse est un bien trop précieux pour laisser les intimidations de quiconque l’empêcher de s’exercer.
(Tratto da: La Lumière)
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