« 9 février 2012, la vie maçonnique suit son cours normal à la GLNF. (…) Le Grand Maître est et reste le Grand Maître. » Ainsi commence le dernier communiqué du 9 février 2012 adressé par le Secrétaire du Grand Conseil à tous les frères de l’obédience. Ce communiqué signale une « rencontre cordiale » entre François Stifani, Henry Sidéry, le directeur administratif et financier, et Me Monique Legrand administrateur judiciaire mandataire ad hoc de la GLNF. Il a bien évidemment été question de l’annonce faite par Me Stéphane Dumaine-Martin, l’avocat de Me Legrand, de l’interdiction faite à Stifani de pénétrer dans son bureau au siège de la GLNF et de donner des directives aux salariés de l’obédience.
A en croire l’avocat Olivier Pardo ou le Grand Orateur Jean-Michel Baloup, ces décisions annoncées aux conseils des opposants (et confirmées à La Lumière), ne seraient que la manifestation d’un agacement temporaire.. ou une posture pour instaurer un rapport de forces avant négociation. Il y a dû avoir un compromis puisque le Grand Maître aurait toujours accès à son bureau de Grand Maître, au 3ème étage de la rue Pisan, qui n’a connu ni pose de scellés ni changement de serrures (détails qui n’avaient d’ailleurs jamais été indiqués par Me Dumaine-Martin).
Le nouvelle offensive de François Stifani consiste à renverser la vapeur. Au lendemain de l’AG du 4 février, par la voix de l’avocat et Grand Orateur Jean-Michel Baloup, la gouvernance Stifani indiquait à Me Legrand que sa mission était terminée et que le Conseil d’administration reprenait les rennes de la GLNF. D’où la colère légitime de Me legrand. Aujourd’hui, en fin de journée, la gouvernance Stifani a adressé un nouveau courrier à Me legrand qui dit exactement l’inverse : « Nous l’informons que nous allons demander l’augmentation de ses prérogatives, pour que Me Legrand ne soit plus mandataire ad hoc mais administrateur provisoire de la GLNF« , m’annonce Me olivier Pardo. François Stifani prévoit également de remettre en jeu son mandat de Grand Maître avant fin juin 2012 (je crois me souvenir qu’une annonce similaire avait été faite il y a un an).
Pourtant, hier, la lettre aux frères de François Stifani, sans doute sous le coup de la première mesure humiliante de Me Legrand, n’était pas triomphaliste : « L’heure est extrêmement grave« , commençait-il sa missive. Avant de détailler quelques réformes destinées probablement à amadouer les membres de l’obédience.
C’est peu dire que, pour l’heure, ceux qui croyaient qu’un coup de grâce avait été porté à François Stifani… devront encore patienter !
A en croire l’avocat Olivier Pardo ou le Grand Orateur Jean-Michel Baloup, ces décisions annoncées aux conseils des opposants (et confirmées à La Lumière), ne seraient que la manifestation d’un agacement temporaire.. ou une posture pour instaurer un rapport de forces avant négociation. Il y a dû avoir un compromis puisque le Grand Maître aurait toujours accès à son bureau de Grand Maître, au 3ème étage de la rue Pisan, qui n’a connu ni pose de scellés ni changement de serrures (détails qui n’avaient d’ailleurs jamais été indiqués par Me Dumaine-Martin).
Le nouvelle offensive de François Stifani consiste à renverser la vapeur. Au lendemain de l’AG du 4 février, par la voix de l’avocat et Grand Orateur Jean-Michel Baloup, la gouvernance Stifani indiquait à Me Legrand que sa mission était terminée et que le Conseil d’administration reprenait les rennes de la GLNF. D’où la colère légitime de Me legrand. Aujourd’hui, en fin de journée, la gouvernance Stifani a adressé un nouveau courrier à Me legrand qui dit exactement l’inverse : « Nous l’informons que nous allons demander l’augmentation de ses prérogatives, pour que Me Legrand ne soit plus mandataire ad hoc mais administrateur provisoire de la GLNF« , m’annonce Me olivier Pardo. François Stifani prévoit également de remettre en jeu son mandat de Grand Maître avant fin juin 2012 (je crois me souvenir qu’une annonce similaire avait été faite il y a un an).
Pourtant, hier, la lettre aux frères de François Stifani, sans doute sous le coup de la première mesure humiliante de Me Legrand, n’était pas triomphaliste : « L’heure est extrêmement grave« , commençait-il sa missive. Avant de détailler quelques réformes destinées probablement à amadouer les membres de l’obédience.
C’est peu dire que, pour l’heure, ceux qui croyaient qu’un coup de grâce avait été porté à François Stifani… devront encore patienter !
(Tratto da: La Lumière)