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lunedì 20 febbraio 2012

Me Legrand : François Stifani n’est plus Grand Maître de la GLNF

LE 17 FÉVRIER 2012 17H28 | PAR FRANÇOIS KOCH

Dans son premier communiqué en tant qu’administrateur provisoire de la GLNF, Monique Legrand, administrateur judiciaire, a manifestement décidé, ce 17 février 2012, de frapper très fort. Dans un texte de quatre pages, adressé à tous les frères, elle écrit : « Personne ne peut plus, à ce jour, revendiquer avec légitimité, la fonction de Grand Maître, compte tenu du vote du 4 février 2012. » Et ce après avoir affirmé : « Le Grand Maître et/ou ceux agissant en son nom, sont dorénavant privés de toute légitimité... » La parole de Me Legrand fut rare. Cette fois, elle s’exprime avec force. Et avec quelle vigueur !

Quelles conséquences ?

Me Legrand invite les prétendants à la Grande Maîtrise à se manifester auprès d’elle dans les dix jours. Elle prévoit de réunir les candidats pour réfléchir à la méthode de la plus indiscutable de désignation dans le cadre d’un collège réuni en mars 2012.

Me Legrand interdit l’utilisation des moyens de la GLNF pour toutes procédures disciplinaires deradiation à compter du 4 février 2012. Toute procédure d’admission ou de radiation ne peut plus être validée que par elle.

Malgré tout, une question demeure : la future AG de ratification du Grand Maître réunira-t-elle les seuls votants du 4 février 2012 (où les opposants étaient très peu représentés)… ou Me Legrand acceptera-t-elle les suffrages des délégués de loges (vénérables maîtres et 1ers surveillants) qui se mettront à jour de cotisations (répondant ainsi à l’appel d’Alain Juillet) ? La question suscite déjà débaten PACA, comme en Val-de-Loire.

Il parait clair que le tournant ressenti lors de l’AG du 4 février se concrétise désormais. On commence à comprendre ce qui s’est passé et qui demeurait flou : Me Legrand avait effectivement interdit à François Stifani l’accès au siège de la GLNF au vu de son déni du désaveu infligé par l’AG et a levé son interdiction dès qu’il a reconnu le résultat du vote par la voix d’un écrit de son avocat.

(Tratto da: La Lumière)