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martedì 14 giugno 2011

Violations graves des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire.

Le rapport d’Amnesty International du 25 mai dénonce la passivité des forces des Nations Unis (Onuci) sur les violences commises en Côte d’Ivoire depuis le déclenchement de la crise postélectorale. Une commission d’enquête de l’ONU, dans son rapport du 10 juin, conclut que les deux camps ont commis des violations pouvant constituer des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre.

Ces actes de barbarie perpétrés contre des populations civiles martyrisées, malgré la présence de forces onusiennes, rappellent douloureusement les drames du Rwanda ou des pays de l’ex-Yougoslavie. En Côte d’Ivoire, les droits de l’Homme continuent manifestement à ne pas être respectés.

Au nom de la Déclaration Universelle de 1948, le Grand Orient de France se tourne vers le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, l’Union africaine et les autorités ivoiriennes afin que soient traduits en justice les criminels. Il reste attentif à ce que le continent africain ne soit plus la proie de prédateurs ou le territoire de chasse de mercenaires assassins.

Paris, le 14 juin 2011